Avis à la population…

Tout d’abord… pardon pour mon absence de ces derniers temps. Entre le changement d’école, le nouveau job, le changement de ville, d’appart… Je n’ai pas eu beaucoup de temps pour souffler!

Et puis, ça fait des mois que je me dit qu’il faut que je change de blog. C’est en cours de migration (bien avancée cette fois-ci).
J’abandonne cette vieille plateforme Dotclear 1.2 pour la toute nouvelle rutilante Dotclear 2…

Il risque d’y avoir quelques perturbations ici, alors attachez-bien vos ceintures! Pour les technophiles qui veulent être sûrs de ne pas me perdre dans la bataille, je leur conseille de s’abonner à mon flux feedburner http://feeds.feedburner.com/jusquici qui ne devrait pas subir beaucoup de perturbations…

Et promis, le prochain billet sera beaucoup plus rapide à venir!

Nouveau nid à Paris

J’en ai déjà parlé ici, mais je ne l’ai encore jamais montré.
Mon nouvel appart (le point marché A) se trouve à deux pas du Sacré-Cœur (le truc blanc à la droite de la photo pour les incultes :p ).

Paris XVIIIème

Un quartier sympa, plutôt calme, avec plein de restos et de bars à tester!

L’immeuble lui aussi est plutôt sympa, il date du début du XXème et possède une entrée Art Nouveau assez remarquable.

En haut à droite (oui oui, sixième étage sans ascenseur… ça muscle les fesses) vous pouvez apercevoir la fenêtre de ma chambre… vu que le séjour donne sur l’arrière de l’immeuble.

Alors… Rendez-vous le samedi 1er novembre pour la crémaillère?… 😉

Merci au blog Paris 1900 pour les photos.

[article sponsorisé] Footlocker lance Adidas Bounce

Il est difficile en ce moment de prendre le métro sans voir dans les couloirs les affiches de la nouvelle campagne menée par Footlocker et Adidas: Bounce.

Footlocker propose en ce moment une collection inédit de baskets adidas Bounce qui se veulent au top de la tendance et de la performance… et le moins qu’on puisse dire, c’est que Footlocker fait tout pour mettre en avant ces modèles exclusifs en terme de communication.

Bon… Soyons clairs: je ne me voit pas porter ça pour aller bosser… mais avouez que pour faire du sport (après tout, les chaussures de sport c’est quand même un peu fait pour ça) c’est plutôt stylé et ça a l’air confortable!

Cette collection inédite Adidas Bounce pour Footlocker se base sur le modèle du même nom… totalement relooké pour l’occasion. Si ce qui se voit à été totalement repensé pour coller au mieux aux dernières tendances streetwear, ce qui ne se voit pas a aussi bénéficé d’un traitement de faveur!

Le soin du détail d’Adidas et Footlocker va jusqu’à proposer des chaussures avec un intérieur relooké de façon inédit, tout comme les semelles des chaussures.

Avec ses textures telles que des mailles filet renforcées de cuir métallisé, ou les revêtements aux finitions tendance, il y a forcément un modèle dans la gamme qui vous plaira!

Toute une partie du site de Footlocker est dédiée à cette ligne Bounce et présente les différents modèles en vente, ainsi que ceux à venir dans cette ligne qui vous propose de prendre un avantage déloyal sur vos adversaires du quotidien.

Article sponsorisé

Retrouvailles

Ce qui est drôle dans les retours à la maison, c’est de croiser des gens qu’on a perdu de vue depuis longtemps… et que la technologie (genre Facebook ou Copains d’avant) ne nous a pas refoutu dans les pattes permis de retrouver.
Ca m’est arrivé pas plus tard qu’hier.

Môman et moi étions chez le photographe pour des photos d’identité quand soudain…En un regard, il m’a reconnu. La chirurgie esthétique doit vraiment être très mauvaise pour qu’on me reconnaisse encore maintenant… Ou alors il va falloir que je perde encore 35kgs.

C’était Jonathan. On était ensemble au collège, puis on s’est perdu de vue au fil du temps (ie, à partir du lycée). Il a dû faire un bac L ou STT, quand moi je m’étais tourné vers la seule voie possible, le Bac S (spé Physique, j’suis pas dingue au point d’avoir fait une spé Maths non plus).

Ca fait bizarre de se prendre plusieurs années de souvenirs ingrats dans la face rien qu’en échangeant quelques mots avec quelqu’un.
S’en suit une discussion, ponctuée de regards et de petits sourires de ma chère mère…

Lui: Ca fait un bail… Tu fais quoi maintenant?
Moi: Bah j’ai commencé des études d’ingénieur à Lille, mais ça a pas marché, et ça me plaisait pas tant que ça. Là, je suis de retour en école de commerce, en apprentissage, à Paris…
Lui: Ha bah… ça va… c’est plutôt pas mal!
Moi: Ouais ça va… Et toi alors?
Lui: Bah… J’ai commencé des études de Philo à Reims, mais ça a pas marché. Je bosse chez Mc Do là, en attendant de voir ce que je vais faire
Moi: Ha… Cool!

Conseil du jour: ne jamais se plaindre d’avoir loupé son école d’ingé et d’être arrivé en ESC sans avoir demandé en premier à la personne perdue de vue depuis longtemps ce qu’elle fait maintenant!

Tout recommence au même endroit…

Il y a un bon cinq ans et demi maintenant, c’est là que suis arrivé. Je suis descendu du train, j’ai vu le panneau au loin, et je me suis dit que je n’aurais visiblement pas trop de mal à trouver.

Le concours (oraux et écrits) de l’Iteem avait lieu dans les locaux de l’ESC Lille. Et c’est là que ma reprise a eu lieu hier matin.

Les rituels sont immuables. Un rendez-vous tôt, un paper board en guise de comité d’accueil, et une feuille disant où se rendre. Ca tranche avec l’ambiance des oraux Passerelle, mais on est bien à l’ESC Lille!

Et bizarrement, très vite, le sentiment d’être à la maison revient. Et il se confirme en voyant les noms sur l’emploi du temps: je suis en terrain connu.

Ca fait du bien de temps en temps d’être à la maison…

J’aime la moule!

Allez, je me confesse… J’aime la moule!

Et je peux vous le dire… Je vais pas me priver ce week-end! Entre les marinières, au maroilles, et les autres… Ca va être la fête de la moule-frite!

Moule

Ceci dit, aller à la Braderie de Lille et ne pas manger de moules, c’est mission impossible! Les restaurants ne servent plus que ça pendant trois jours. A la limite, les plus fantaisistes prévoient du poulet pour celles et ceux qui commettent l’affront de ne pas manger le plat officiel de la braderie.

Une belle occasion de revenir vite dans la ville de mon coeur… Qui est en plus le nec plus ultra de la branchitude en cette année Ch’ti.

La plaie du télé-marketing

C’est quand on est dans une maison avec une vraie ligne fixe, où on a pas pris le temps de dire qu’on voulait pas se faire casser les c******s tous les quatre matins par les télé-marketeux qu’on réalise quelle plaie ça peut être.

En ce moment la grande mode c’est l’habitat, surtout tout ce qui touche au pseudo développement durable et aux économies d’énergie.
En trois jours, j’ai eu le droit… à trois appels. Je sais pas comment mes parents font, moi je pourrais pas supporter ça longtemps!

-Oui, mais t’a bossé dans une boite qui fait du télé-marketing, c’est pour expier tes péchés!

OK, je sort de cinq mois dans une boite qui fait du télé-marketing… Mais la majorité des appels sont quand même en appel entrant… Et la plupart des appels sortants se font sur du client connu.

Là, j’ai eu le droit à tout et n’importe quoi de la part d’entreprises aussi fantaisistes les unes que les autres. Donc qu’on se le dise, je n’ai pas besoin d’une nouvelle chaudière, d’une nouvelle isolation, et encore moins de nouvelles fenêtres. Et le pire, c’est quand on sent que la personne au bout du fil est en train de lire un conducteur de bout en bout et perd ses moyens dès que l’objection sort du cadre prévu.

Faut pas qu’ils se plaignent. Je suis resté bien poli. Quand j’étais petit, j’avais gentillement conseillé à une madame d’aller se faire voir avant de lui raccrocher au nez. Et la méchante a rappelé ma mère (morte de rire) en mentant… en disant que je lui avait dit d’aller se faire foutre.

Les adultes j’vous jure… Faut toujours qu’ils trouvent un côté sexuel à ce que les enfants disent de façon innocente!

Une page de cinq ans se tourne

Les pages se tournent beaucoup en ce moment chez moi.

En fin de semaine dernière, s’est une page de cinq ans qui s’est tournée. Celle de ma vie à Lille.

A peine rentré chez moi après mon stage, je me suis remis au travail pour le déménagement. Mis à part quelques CD, des DVD et des livres, rien n’avait encore été mis en carton. Pareil niveau démontage, mis à part le bureau, tout restait encore à faire!

Et bien, franchement, je comprends pas ces gens qui adorent déménager. Passer une journée et demi dans la poussière, c’est pas le truc le plus funky au monde. Et en plus, quand l’appart que l’on quitte avait des murs en brique… C’est trop la classe la poussière rouge partout 😉

Ca fait bizarre de voir la décoration quitter peu à peu les murs et les meubles, de se rendre compte cette armoire que tout le monde trouvait si imposante n’est en fait qu’un château de cartes… Et en fin de compte, on réalise que sans meubles, l’appart est bien plus grand.

Et j’ai été un grand garçon. J’ai versé aucune larme. J’ai juste failli en laisser couler la veille, en allant au bureau pour la dernière fois. La traversée du Vieux Lille au petit matin, avec une lumière sublime et des trucs déprimants dans l’iPod, ça aide pas à contenir le flot lacrymal.

Lille 23.08.2008

Vendredi matin, le contenu de l’appart était embarqué dans le camion de déménagement en moins d’une heure (montre en main). Direction un autre petit village, 250km au sud…

Goodbye Lille… I’ll be back!

Une page de cinq mois se tourne

Depuis hier soir, mon stage de cinq mois à Lille est officiellement terminé.
Cinq mois, c’est long, mais en fait on les voit pas passer!
Je me suis vraiment bien amusé, j’ai rencontré des gens à la fois hyper-pro et totalement délirants. Un vrai bonheur de se lever le matin (même si c’était parfois un peu dur sur la fin :p ).
En prime, j’ai même eu le droit à quelques cadeaux pour mon pot de départ!

Si vous passez ici, merci à vous pour tout!!
Maintenant, direction de nouvelles aventures. Le déménagement est prévu pour ce vendredi. J’ai donc officiellement une journée pour tout démonter/encartonner/ranger/nettoyer… Et fait mon deuil de Lille.

Bon… Et si je commençais pas aller prendre une douche? 😀

Déménager chez Free – Comment faire faire au client ce qu’on ne veut pas faire

A première vue, y’a pas grand-chose de plus simple que de déménager un abonnement Freebox… On se connecte sur l’interface de gestion, on génère un formulaire de déménagement et un numéro de déménagement. L’abonnement est suspendu sur la ligne initiale à la fin du mois en cours, et on a deux mois pour se ré-abonner avec son numéro de déménagement.

Facile… Trop facile !

Parce que ça, c’est la procédure standard… Les choses deviennent plus fun quand le nouvel appartement n’a pas de numéro connu !
Déjà, il faut commencer par appeler la hotline Free, avec ses conseillers qui parlent à peine français.

Et c’est là que ça devient comique. Comme mon appartement n’a pas de numéro de ligne je dois… Résilier mon abonnement Free, et donc payer 60 euros de frais de résiliation (vu que je suis client depuis un an). Il faut donc envoyer un formulaire de résiliation en recommandé avec accusé de réception (donc, 4 euros et des centimes). Et comme on m’annonce tout ça le 19 et que Free doit avoir reçu le formulaire avant le 20 du mois pour résiliation en fin de mois, j’aurais à payer l’abonnement pour septembre (soit 29,90 euros). Il faut aussi compter l’envoi de la Freebox par recommandé avec accusé de réception (j’ai aucune idée du prix, mais ça doit être dans les 10 euros au moins).

Une fois que les choses sont finies avec l’ancien abonnement, il faut passer au nouveau ! Donc, recommencer une ouverture de ligne Free (avec 20 euros de frais vu que le logement n’a pas de numéro). Il faut aussi prévoir la livraison d’une nouvelle Freebox (Free doit bien aimer payer UPS pour rien) et le temps d’ouverture de ligne… de plusieurs mois sur certains forums Free !

Une fois que la procédure a coûté 10 boites de lexomil, un bras, un ulcère et six mois, on peut demander à se faire rembourser des frais de résiliation…
Pas glop…

Autre solution, non proposée directement par Free : ouvrir une ligne chez France Télécom.< br /> En tarif étudiant, ça revient à 28 euros, plus l’abonnement… Et le temps moyen d’ouverture de ligne est visiblement inférieur à une semaine. Dans ce cas là, on se retrouve avec une procédure de déménagement classique, sans 3 lettres recommandées (résiliation + envoi Freebox + demande de remboursement de frais de résiliation) et le jeu du chat et de la souris avec UPS pour la livraison de la box.

Si Free ne voulait pas se faire chier avec des ouvertures de ligne, ils ne s’y prendraient pas autrement…

Recherches d’appartement à Paris – Jour 2 – Partie 3

Après une petite pause déjeuner, direction le quatrième rendez-vous de la journée dans le XVIIème, Métro Brochant. On tranche totalement avec le style paisible de ma déception de ce matin. Je suis à deux doigts d’appeler l’agent pour savoir s’il a réussi à ouvrir la porte. Plus j’avance vers le rendez-vous, plus la déception grandit. Et plus mon envie de zapper ce rendez-vous grandit aussi.
Puis mon téléphone sonne. C’est bon, il a réussi à ouvrir. Il me décrit brièvement l’appartement, histoire de voir ça convient à mes critères et ne pas me faire retourner dans le XVIIIème pour rien. C’est parfaitement ce que je voulais. On se donne rendez-vous après cette visite de 13h dans le XVIIème. Entre temps, je suis arrivé devant l’immeuble. Je passe un enième coup de fil à ma mère pour lui raconter, tout en continuant de scruter les lieux.

J’ai pas envie d’habiter ici! Il y a deux vieux à l’air vicieux au 2ème étage qui braillent à une fille qui attend pour la visite de monter. Je rappelle l’agent qui vient de me donner rendez-vous à 14h pour lui dire que je serais en avance, je zappe cette visite.

Retour à Lamarck-Caulaincourt. Comme j’ai du temps à tuer, je décide de faire un tour dans le quartier. Toujours so lovely. Entre temps, des tas de petits restos se sont ouverts. C’est vraiment le quartier idéal. Reste à voir l’appartement. L’agent immobilier arrive avec un peu moins de cinq minutes de retard. Il fait chaud, plein soleil. On remonte au sixième. Il ouvre la porte, sans problème cette fois. On entre…

Une chambre avec un vaste placard, du parquet, et une vue sur la rue. Une petite salle de bain, avec fenêtre, un emplacement pour une machine à laver et du carrelage au sol. Enfin, un séjour/cuisine vaste, lumineux, sur l’arrière de l’immeuble, avec une vue sur le cimetière de Montmartre et la Défense en point de mire.
Je donne les principaux éléments du dossier à l’agent. Contrairement à tous les autres, ça va aller vite. Il me dit que j’ai une bonne tête et que ça ne trompe pas. Mon dossier sera accepté. Comme c’est lui qui devait faire visiter l’appartement à d’autres personnes le lendemain, il appelle directement son agence pour dire d’annuler les visites puisque je prends l’appart. Un vrai soulagement.
Il reste encore quelques pièces à leur faire parvenir (merci Mamaaaaaaaaan), mais l’essentiel est là, et il me promet que le bail sera vite signé.

Il ne me reste plus qu’à passer quelques coups de fil: j’ai trouvé mon appartement dans le budget que je m’étais fixé, 700€ charges comprises, et pour une surface à laquelle j’aurais jamais pensé… Trente mètres carrés en plein Paris!

Recherches d’appartement à Paris – Jour 2 – Partie 2

Direction le XVème, à quelques rues de mon futur bureau. Première impression en traversant la rue de la Convention pour aller au rendez-vous: vu le nombre de travaux, je donne une médaille aux riverains qui arrivent à dormir le matin!
C’est le XVème sans surprise, que des mamies à la chevelure violette dans les rues ce mercredi matin. L’immeuble en question est au pied d’un Franprix. L’appartement est un petit studio d’un peu plus de 23 mètres carrés, assez lumineux, avec une vue sur une cour intérieure (tiens, ça me rappelle quelque chose…), du parquet, et même une porte fenêtre qui donne sur un petit balcon pour prendre un verre en terrasse.
Plutôt sympa donc. Je décide de donner un dossier à la fille de l’agence. Mais bien sûr, il manque des choses. Il lui faut aussi la copie du contrat de travail de mon père, une attestation de son employeur, les RIB de mes deux parents nos analyses d’urines datant de moins de trois semaines et une analyse des selles.

Direction le troisième rendez-vous de la matinée, métro Grands Boulevards. Pas de quoi se taper le cul par terre. Déjà, il y a tromperie sur la marchandise. L’annonce parlait d’un 24 mètres carrés au 6ème étage… et bien comme c’est un appartement mansardé, les 24 mètres carrés, il faut compter toute la surface au sol pour les trouver! Et quand on fait 1m80, l’appartement se résume à un couloir.
L’agent tente tant bien que mal de me vendre son truc entièrement refait à neuf en me disant que là, c’est le moment du gros rush et que plus le temps passe plus ça va être dur… Oui mais non!

Recherches d’appartement à Paris – Jour 2 – Partie 1

Comme la recherche d’appartement à Paris un samedi c’est pas top… Je me suis décidé à poser un jour de congé pendant mon stage pour aller faire le trottoir battre le pavé de notre belle capitale.

Après quelques coups de fils passés un forfait bousillé, j’ai finalement réussi à décrocher cinq rendez-vous sur la journée… le premier étant à 9h tapantes! Dit comme ça, ça va. Mais quand on sait qu’avant y’a une heure de TGV puis le métro… c’est tout de suite moins funky!

Premier rendez-vous dans le XVIIIème… Je suis pas forcément fan, mais on verra. En arrivant au métro Lamarck-Caulaincourt… Je me demande quand ces escaliers vont enfin finir! J’arrive enfin en haut des 25 mètres d’escalier et là, le choc! Une vue plongeante sur Paris. Des immeubles art nouveau à couper le souffle. Un quartier qui s’éveille et qui est beau! Direction le point de rendez-vous en bas de l’immeuble. Là aussi, un immeuble Art Nouveau avec une porte d’entrée sublime. L’agent immobilier arrive, on monte facilement les six étages de l’immeuble bourgeois. Mais c’est là que les problèmes commencent. Pas moyen d’ouvrir la porte. Le bien est rentré il y a peu de temps dans leur agence, c’est la première visite, personne ne sait comment faire. Il me promet de me rappeler en début d’après-midi s’il réussit à ouvrir la porte.

Dommage, j’étais tombé amoureux du quartier.

Recherches d’appartement à Paris – Compte-rendu du jour 1

Je savais que chercher un appartement dans une des villes les plus chères au monde (même si je n’arrives plus à retrouver le classement qui le dit) ne serait pas une partie de plaisir. Alors vouloir visiter des appartements à Paris un samedi en août, c’est visiblement de la folie furieuse!

Après une bonne plusieurs dizaines de coups de fils, j’ai quand même réussi à planifier deux rendez-vous pour cette première journée… à une heure d’intervalle à des endroits très différents de Paris.

Première visite dans le XIVème, à deux stations de Montparnasse. Un quartier animé, commerçant. Je repère un autre mec d’à peu près mon âge qui prend la même direction que moi à la sortie du métro, avec un dossier épais comme la liste des amants de la première dame de France. Je suis sûr qu’on va visiter la même chose!
Je ne m’étais pas trompé, d’ailleurs, il y arrive avant moi. La façade est peu engageante. L’escalier non plus. Je monte jusqu’au premier et le trouve en pleine viste avec la propriétaire. L’appartement est assez clair, propre, idéal! Une grande cuisine, une petite salle de bains… Pour une première visite, j’aime bien!
Je dépose donc un dossier à la propriétaire, qui doit rappeler le lundi la personne qu’elle aura choisi. J’ai déjà l’impression qu’en tant que pauvre étudiant, ça va pas le faire!

Direction le second rendez-vous, plus central. L’appartement est situé en plein IIIème, à deux pas du métro Arts et Métier et de Beaubourg… Mais malgré l’emplacement ça sera non! De la moquette verte au sol, une pico-cuisine sans frigo ni la place pour poser un micro-ondes, pas la place de mettre une machine à laver… Je sais bien qu’il faut savoir faire des concession dans la vie, mais pas trop non plus!

La suite au prochain épisode…

Bientôt SDF!

Je suis bientôt SDF, c’est officiel !

J’ai envoyé hier soir mon préavis pour mon appartement de Lille. Comme je le quitte pour raisons professionnelles (patati patata), le préavis de trois mois se réduit à un seul mois.
Je suis donc officiellement sans abris à partir du premier septembre. Youpi !!

Reste donc à trouver la perle rare, à savoir un appart à Paris… Si vous avez des tuyaux, n’hésitez pas (je cherche quelque chose de plus ou moins 25m² pour 700€ par mois).

Début des visites ce week-end normalement. Affaire à suivre !

Hell Boy 2 sort le 29 octobre

Depuis que l’année de cours est finie… je sors beaucoup moins! Sûrement la faute de mon stage pour être plus en forme au bureau le lendemain. Du coup, je me suis mis à regarder de nouveau des films (pas bieeeeeeeen) et livre des livres (bieeeeeen) vu que les séries made in USA en V.O. font leur pause estivale.

En surfant sur le web à la recherche des prochaines sorties ciné, je suis tombé sur la bande annonce de Hell Boy 2. J’étais passé totalement à côté du premier volet des aventures de Hell Boy mais ce second volet, les légions d’or maudites , a l’air assez sympa!

 Hell Boy 2

 Réalisé par Guillermo Del Torro, déjà réalisateur du Labyrinthe de Pan, le film se veut un savant mélange entre humour, action, et effets spéciaux dignes des plus grandes réalisations d’Hollywood. Au niveau du casting, on retrouve Ron Perlman dans le rôle principal, que l’on a déjà pu voir dans Blade 2. Il est épaulé par la sublime Selma Blair, déjà vue dans Sex Intentions ou La revanche d’une blonde, et Doug Jones, qui a joué dans Le Labyrinthe de Pan et les 4 Fantastiques et le Surfeur d’Argent.

 

Pour plus d’informations, vous pouvez consulter le site officiel de Hell Boy 2 – Les légions d’or maudites. Le film sera également à l’honneur du Festival de Deauville, qui aura lieu du 5 au 14 septembre.

Article sponsorisé

Chaîne alimentaire

Ca fait un certain temps que j’avais été l’innocente victime d’une chaîne bloguesque postée par Arkane. Comme le dit l’adage, mieux vaut tard que jamais, alors voici mes réponses:

  1. Un aliment ou produit que je n’aime pas du tout
  2. Alors là, sans hésiter, la seule chose pour laquelle je voue une répulsion massive… les épinards! Ceci dit, y’a pas longtemps, j’ai sur-kiffé (oui oui, faut faire jeune) le crumble aux épinards de ma collègue Aline…

  3. Mes 3 aliments favoris
  4. Hum… C’est des choses que j’adore mais que je ne mange pas forcément tous les jours, hein… Donc on va dire le foie gras, le fromage (sous toutes ses formes) et le raisin.

  5. Ma recette favorite
  6. Sans hésitation, celle que je maitrise le mieux: la ratatouille (et toutes ses déclinaisons).

  7. Ma boisson de prédilection
  8. Pas très funky pour le coup… C’est l’eau! Je dois bien boire mes deux litres d’eau par jour sans problème, et encore plus au bureau. Sinon, c’est thé et café. Et en boisson alcoolisée? Champagne bien sûr…

  9. Le plat que je rêve de réaliser et que je ne ferai jamais
  10. Tout ce qui est Japonnais! J’adore, mais ça ne viendrait jamais à l’idée de me lancer dans la réalisation de sushis, de sashimis ou de makis.

  11. Mon meilleur souvenir culinaire
  12. Peut-être le hamburger au foie gras… En fait, j’en ai des tonnes donc dur d’en citer un seul.

Et puisque il faut bien refiler le bébé, je le donne à Maxime H, MeL, Toli et Bertrand!