On sait oh combien Rachida Dati reste attachée à ses origines modestes. Elle se plaît à le rappeller à longueur d’interview.
Ce soir, le Grand Journal de Canal + était consacré au succès de Bienvenue chez les Ch’tis avec Dany Boon en présentateur. A cette occasion, Le petit Journal People a demandé à des politiques et des vedettes où ils avaient grandi, et quel était le patois de leur région d’origine.
La réponse de la Garde des Sceaux mérite le détour:
-Vous avez grandi où?
-En Saône-et-Loire
-Et c’était quoi le patois?
-C’était plutôt les Deschiens!
Une femme politique ne doit pas plutôt vanter les différences culturelles de notre beau pays?…
Vous croyez encore à cette propagande sarkosiste de la femme politique d’origie modeste, qui a réussi à la force de son travail… la belle blague, Dati n’est pas la fille de ferme endimanchée qu’essait de nous vendre notre président dont il est pieux et charitable de taire le nom ici. Elle est l’image méme de l’opprtunisme,et d’une pale copie d’une figure propagandiste mise en avant par une vieille équipe qui essaie de faire du jeune avec du trés vieux voir usé et obsoléte.Mais sinon j’adore ton blog cindy
Comme nous pouvions le lire ce matin dans le 20minutes, Rachida aime qui plus est Dior…et elle nous le fait savoir. Une politique, un mannequin…
Est-ce une preuve du modernisme de notre gouvernement ?
La vuilla ap la Rachida
Sus la grand route, on beau jo du mois de septembre, la vuille paysanta rentrève des champs, sa pioche sus lépaula.
Fatiguia, pleya sos le poids des ans ap des poines, alle sen allève bachant du doûs, trainant des pis ap torgeant du thiul. Groussièrement vitia, ses cotillons répiécetés avint lodeur de la tarra ap des harbes sauvages.
Veniant de son côté, na drouille dChâlon dvnue ministre, novallement errivia décrevis, le nez en lair. De temps en temps alle portève à ses lèvres na cigarette, ap alle lancive on flocon de feumire. Poudria, parfemia, vitia dcotillons dchez Dior, touta sa personne encharognive le musc et la cocotte à trente pais.
De tant loin qualle aperçut la vuille, alle fut na grimace de mépris. Çla vuille manante Marie Deschiens, qualle se dessit, qué va fallai rencontrer !
Pus, à lidée qualle allève pouvoir sen moquer, ap lépater ave sa cigarette, alle se métut à sourire. En éprochant la vuille, tout de suite alle li tadut la main.
– Oh ! Vla la Marie Deschiens ! Cment vat-i, Marie ? Vos êtes toujes jeûna, toujes brâva, toujes fière ! Que si ! Que si ! Oh ! Que vous ez bonne mine ! Vous êtes fraîche, fraîche cment na rousa ! Ap vos ez on brâve cotillon… Oh ! Le brâve cotillon ques ez donc !
Ap patitati, ap patata ! La pourra vuille répondève oui, ap non, ennoya des propos de la jeune moquousa.
– Mais Rachida, qualle déssit à la fin, à Paris les filles feumaent donc cment les magnats ?
– Mais oui, que répondut lautra. Vouillez-vos na cigarette ?
– Non merci ! Jen ai déjà vu na de ce métin qui feumève cment tei.
Pus, cment la Rachida, étonnia, ouvrire tous grands les ux, ap la goârge, po mieux comprendre :
– Oui, ce métin, je sus allia me pouser vé nouton feumi ; quand jme suis relevée jen ai vu na derri moi, fraiche cment tei, que feumève cment tei, ap que chentève cment tei… Nouta treue a passé, al vniot de la pouser. A rvoir Rachida.