La dure vie d’étudiant impose de se lever à des heures indues.
Encore plus le mardi matin, où il faut lever son pauvre corps hors de la couette pour affronter le froid et prendre le métro jusqu’à Villeneuve d’Ascq pour subir suivre les palpitants cours de langues.
Comme vous pouvez le voir, de petits malins ont re-baptisé un laboratoire en abatoir… So true!
1 thought on “La dure vie d’étudiant”
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Oh moi j’ai cours dans le l’abatoir 105.
helàs sur ce chemin de la mort, nos corps tout tremblant de peur, ne se croissent jamais.